CC Dr Jean-Marie Wenger

Spécialiste FMHGynécologie-Obstétrique opératoire.


Prise en charge de l'endométriose, des fibromes utérins, et de l'atrophie génitale

Ce site a pour vocation de rassurer à propos des maladies invalidantes de la femme, mais pas seulement. En effet, notre objectif est aussi d’informer les femmes de tout âge, le plus simplement possible. De cette façon, elles pourront aisément poser leurs questions à leur médecin sur les sujets méconnus tel que l’endométriose. Néanmoins, le contenu proposé ne dispense pas des conseils du médecin ou du gynécologue. Ces derniers établiront le diagnostic final et le suivi de traitement/surveillance.

 ” Devant la complexité de cette maladie nous avons choisi des illustrations et un vocabulaire accessible à toutes et à tous ”

Dr Jean-Marie Wenger

Profil

Qui suis-je ?

J’ai débuté en travaillant 5 ans en chirurgie générale, suivi de 5 autres années en gynécologie-obstétrique. À l’issu de ces 10 ans, j’ai obtenu mon diplôme de spécialiste FMH en gynécologie-obstétrique opératoire. J’ai pu ensuite travailler dans différents centres reconnus pour leur traitement de l’endométriose. On peut citer notamment l’hôpital Saint-Luc à Bruxelles (Belgique) et Santa Casa à São Paulo (Brésil).

Depuis mes débuts en gynécologie, j’ai eu à cœur de travailler sur la chirurgie de l’endométriose. J’ai commencé dans les hôpitaux universitaires de Genève. En effet, ces derniers ont permis la naissance d’un centre d’excellence de l’endométriose en 2016. Ce dernier fut ensuite officiellement agréé par la Scientific Endometriosis Foundation et la European Endometriosis League. J’ai ensuite poursuivi dans ce domaine au sein de mon activité privée.

En créant ce centre de prise en charge des patientes atteintes d’endométriose, j’ai été confronté à un grand nombre de cas complexes. J’ai donc organisé le centre en réunissant des spécialistes en divers domaines afin de répondre au mieux aux attentes des patientes.

Ma préoccupation principale est la prise en charge globale des patientes. Néanmoins, je suis tout aussi impliqué dans la formation du corps médical et paramédical dans le domaine universitaire et privé.

Avec plus de 1500 cas opérés, mon expérience me permet d’intervenir chez les cas les plus complexes d’endométriose. Je suis donc à même d’utiliser des techniques minimalement invasives comme la laparoscopie ou le laser CO₂.

Dr Jean-Marie Wenger

— Nos collaborateurs

Une équipe de spécialistes en médecine de la reproduction, chirurgie viscérale, urologie, radiologie, pathologie, physiothérapie, psychologues, thérapies naturelles et nutrition.

Nous proposons aussi

Il y a peu de temps, les fibromes étaient traités de façon chirurgicale (laparotomie ou laparoscopie) par myomectomie (retrait du fibrome). Cette méthode entrainait malheureusement des dommages collatéraux. Il existe aujourd’hui la possibilité de procéder à un traitement non-chirurgical par radiofréquence, et ce dans la plupart des cas.

Cette méthode présente des avantages indéniables. En effet, il n’y a pas réellement d’opération ni de cicatrices. De plus, après le traitement, peu de douleurs subsistent, tandis que le taux de réussite est exceptionnel. Fait notable, cela permet de conserver l’utérus.

Que ce soit par une ménopause naturelle ou artificielle (en cas de cancer du sein), la femme connait une baisse des hormones féminines. Cela peut entrainer une sécheresse vaginale et/ou vulvaire (à l’entrée du vagin) qui occasionne des symptômes désagréables.

Les symptômes les plus courants sont des démangeaisons, des brûlures et des douleurs voire des saignements lors des rapports sexuels. Pour remédier à cela, il existe des traitements hormonaux par exemple. Néanmoins, ils peuvent être contre indiqués ou tout simplement non-voulus.

C’est là qu’intervient le traitement par laser CO₂ MonaLisa. Ce dernier permet un rajeunissement de la sphère vaginale, ce qui entraîne une disparition des symptômes. Il agit en stimulant la paroi vaginale et vulvaire, provoquant un afflux de vaisseaux sanguins, qui permet un épaississement des différentes couches du vagin. Ce résultat a pour conséquence une réhydratation et une lubrification naturelles.

Les cicatrices sont malheureusement la conséquence de toute intervention chirurgicale. Alors, un processus de guérison se met dès lors en marche pour résorber l’agression cutanée. Le résultat naturel est un aplatissement et une diminution de la visibilité de la cicatrice.

Dans certains cas, cette résorption n’a pas lieu et les cicatrices restent très visibles, surélevées et potentiellement douloureuses. On les appelle des chéloïdes. Pour remédier à cela, le traitement par laser CO₂ peut s’avérer très efficace. Il est en effet capable, sans crèmes ni médicaments, de réduire les cicatrices.

Dr. Jean-Marie Wenger

— Obstétricien et gynécologue, chirurgien en gynécologie-obstétrique


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